[RP] Attaque du refuge

--LeVerdier a écrit:Bien le bonjour Sieur Leverdier comment vous portez-vous depuis la dernière fois que nous avons eu l'honneur de votre visite?

Eh bien, fort bien, je dois l'avouer. Cet air de printemps nous donne bon teint à tous. Et les arbres ne s'en portent pas plus mal.

Tout en parlant, LeVerdier attrapa sa choppe de bière et but doucement. Il était vrai qu'il n'aimait pas forcément les gens, leur parler et les voire s'affairer. La nature était beaucoup plus calme et intéressante. Mais Briancon et les Brianconnais restaient tout de même quelques chose qu'il appréciait.

Je descends pour vous demander justement un coup de main : j'ai trouvé une hache plantée dans un tronc d'arbre et celui ci commence à cicatriser fort mal. Elle est rudement enfoncée, ce doit être l'œuvre d'un costaud. J'aimerais savoir si vous pouviez me renseigner sur l'identité de celui ci, que je lui apprenne le soin à accorder à la nature.

Puis, il se passa deux choses inattendues.
La première, ce fut l'entrée d'une jeune femme aux longs cheveux noirs, qui semblait très heureuse de revoir Dame Elisabeth. LeVerdier répondit à son bonjour par un signe de tête; mais celle ci était déjà obnubilée par le retour de son amie.
La deuxième chose étrange fut l'entrée dans la taverne d'un groupe de personnes armées et mal intentionnées. Sans réfléchir, LeVerdier sortit son couteau de chasse et se plaça devant la Dame Elisabeth et sa jeune amie. De son autre main, il attrapa la hachette qu'il gardait toujours sur lui pour s'occuper des arbres.
Il espéra que cette hache ne servirait pas et que les gens en seraient intimidés. Mais à la vue de la carrure de certain d'entre eux, il remit en doute ses espérances.

Erestie a écrit:*Ninoua...*

Le groupe était entré de manière fort peu commode, fracassant la porte alors qu'il suffisait de l'ouvrir. La discrétion aurait pu être un atout majeur mais ils avaient décidés de jouer la carte de la peur et de la surprise. Certain avaient décidés de se cacher sous des chapeau ou bout de tissus. Le Perse lui, malgré son voile, était remarquable à dix lieux. Ils avaient décidé d'assumer ses actes, ou du moins l'alcool les assumerait à sa place. Il est vrai qu'il perdait par moments raisons, tout sa vie il n'avait que servit, Seigneurs ou marchands d'esclaves, et cela contre son gré. Aujourd'hui, il servait Argael, fièrement et dignement, et pour une fois ce choix était le sien. Mais cette femme... cette femme perturbait son existence. Depuis leur rencontre, il c'est vu affaiblit, tourmenté, lui qui juré de ne céder à aucun sentiment qu'il se disait être superficielle. Mais chaque homme a ses faiblesses et la chose restait secrete, il vallait mieux peut-être que cela soit et reste ainsi.

Le visage presque apeurait, Erestie regardait l'homme prendre les armes et se postait en face d'Elisabeth et Ninoua. Tandis que ceux des Bas-Fonds entraient et s'impatientaient à l'idée de se battre ou de voler ces gens. L'Ostrogioth était posté à coté du Perse, grand Dieu qu'il était imposant. Il n'aurait nul mal a lui seul de s'occuper de cet homme. L'héroïsme insensé et inconscient le mènerait probablement à sa perte. Mais qu'il en soit ainsi...

*Ressaisis toi Erestie...*

Brodulis était lui aussi entré, au coté de Capra, et puis il y avait cette femme étrange que l'Ostrogoth affectionnait, peut-être le temps d'une soirée, tout particulièrement. L'ambiance était des plus froide, un mouvement trop brusque d'une personne entrainerait une bataille probablement désastreuse. Il y aura des victimes ce soir à Briançon, qu'Haxāmaniš leur en soit témoin.

*Et si quelqu'un lui faisait du mal, s'en prenait à elle. Erestie ressaisis toi, fais ce dont pourquoi tu es fait...*

L'alcool l'affaiblissait, aussi bien physiquement que mentalement. Il décida de prendre la parole, sur être toute façon vu par Ninoua. Sa déception était immense, pourquoi était elle la ...

Homme, pose les armes, ta perte est certaine dans ce combat. Mais sache que ta vie ne vaut rien pour nous...

Il balaya la salle du regard, s'adressant ainsi aux autres personnes

Si vous êtes prêt à croiser le fer et rejoindre votre cher Aristote, qu'il en soit ainsi, prenez vos armes. Si par contre votre bon sens prends le dessus, que vos biens, écus et bijoux, soit mise sur cette table!

--Brodulis a écrit:L'entrée dans la taverne était magistrale, de quoi donner des frissons à notre homme. Enfin un peu d'action et d'écus à se mettre sous la main. Brodulis écouta le Perse parler, il se tourna ensuite vers les autres et dit:

Apres avoir tué ce pauvre fou on pourra en prime s'occuper de ces deux jeunes demoiselles mes amis! Un petit trésor de guerre.

Il s'avanca arme à la main vers l'homme qui les défendait...

Aldraien a écrit:[rp]La jeune femme marchait seule dans la rue, se remémorant son dernier passage dans le village...Inconsciement, ses pas la menèrent droit à cette auberge où Eli l'avait soigné des mois plus tôt, elle regardait la bâtisse, ne la trouvait en rien changé.

La dernière fois, c'était blessée dans les bras de son mari qu'elle était entrée ici, Eli dans sa grande hospitalité avait accepté de les loger et Ald lui en était encore reconnaissante. Elle la savait enceinte, elle l'avait appris le jour même en taverne et avait très envie de la féliciter et de lui souhaiter tout le bonheur qu'elle méritait.

Soudain, une voix forte la tira de ses pensées :

Si vous êtes prêt à croiser le fer et rejoindre votre cher Aristote, qu'il en soit ainsi, prenez vos armes. Si par contre votre bon sens prends le dessus, que vos biens, écus et bijoux, soit mise sur cette table!

Cette voix...elle l'avait déjà entendu, mais elle ne savait où, ne s'en rappelait plus. Courage, peur, folie...elle n'en savait rien, toujours est-il que ces paroles signifiaient qu'une attaque avait lieu dans l'auberge.
Ne pouvant laisser ses amis se faire attaquer, elle dégaina son épée, épée légère qu'elle aimait parmis toutes les armes et s'approcha de l'entrée.
Combattre ne lui faisait aucunement peur, au contraire, elle en avait l'habitude.

Elle se met dans l'embrasure de la porte et observe l'intérieur des lieux...4, peut-être 5 hommes. Elle reconnait Erestie, ancien de l'Ost, elle avait déjà combattu à ses côtés il y a longtemps. Peu importe, il menace Eli, il était un ennemi.
Si elle ne pouvait pas tous les battre, elle pouvait du moins les occuper un moment, le temps, elle l'espérait, que des renforts arrivent.
Elle se met en garde, prête à attaquer le premier qui broncherait et fixe le chef du groupe, Erestie. D'une voix forte elle s'exprime :

Lâchez vos armes bande de lâches ! Laissez ces personnes en paix, prenez-vous en plutôt à quelqu'un de votre trempe ! A moins qu'un soldat de l'Ost ne vous fasse peur ?

Il y avait du défi dans sa voix, c'était le but, elle voulait qu'ils laissent les personnes de l'auberge pour se concentrer sur elle. [/rp]

--Jaffar a écrit: Jaffar avait suivi le groupe de loin jusqu'au refuge des montagnards. Il s'apprêta à rentrer dans la taverne quand une jeune femme dégaina une épée et se mit à menacer les brigands.

Lâchez vos armes bande de lâches ! Laissez ces personnes en paix, prenez-vous en plutôt à quelqu'un de votre trempe ! A moins qu'un soldat de l'Ost ne vous fasse peur ?

Il aurait pu la frapper par derrière, mais il préféra se retenir, déjà qu'il n'agressait pas spécialement les femmes, alors par derrière encore moins. Tandis que les pillards à l'intérieur de la taverne se retournait vers l'ostienne, Jaffar fit le tour de la taverne pour essayer de trouver une autre porte. Il dut se contenter d'une fenêtre. Les clients de la table à côté de cette fenêtre eurent un mouvement de recul quand Jaffar passa par la fenêtre. Il en profitât pour prendre les écus qui étaient sur la table. Il rejoignit les autres.

--Brodulis a écrit:Lâchez vos armes bande de lâches ! Laissez ces personnes en paix, prenez-vous en plutôt à quelqu'un de votre trempe ! A moins qu'un soldat de l'Ost ne vous fasse peur ?

Brodulis ricana puis rétorqua

Un soldat de l'Ost nous faire peur? Vous rigolez j'espère? Ce tas de bon à rien payés a ne rien faire ne nous intimides pas! Et encore moins une femme avec une arme... Vous êtes seule pauvre idiote, allez deux si je comptes le fermier ou je ne sais quoi derrière vous jouant les héros. Réfléchissez, est ce que la perte de vos vie en vos la peine alors que nous ne voulons que quelques écus?

Il tourne son regard vers Erestie qui ne bougeait pas. Pour lui il était faible d'esprit, un lâche comme les autres qui mènent les troupes mais face au danger ne réagis pas...

Mais si c'est le combat que vous voulez, vous l'aurez! A 6 contre 2! Jaffar, Capra! Occupez vous d'elle, les autres prennent le butin et s'occupe de la résistance!

--L_ostrogoth a écrit:Tandis que tous criaient et se menaçaient en la taverne, l'Ostro continuait sa tournée dans les recoins du fond de la taverne auxquels personnes ne pretait attention.

De petites gens étaient sous la menaces de l'imposant l'Ostro, et lui récoltait les deniers comme on cueille des pâquerettes. Un collier de perle ici, une bague par là, ...quelques piécettes, un pourboire... Lorsqu'un verre pas trop vide traînait également il ne se gênait pas pour en boire le contenu sous sa tûle.

Il se retourna au moment où Brodulis cria. Un regard, puis il se remit à sa tâche.

Aldraien a écrit:[rp]Ne pas bouger, toujours en garde, elle regarde l'homme arriver par la fenêtre...un de plus.
Suite à sa menace, les pillards semblent réagir, bien bêtement cela dit. Elle dévisage celui qui s'adresse à elle, il est pas beau et il pue...Elle pointe son épée vers lui alors qu'il se moque d'elle.

Ma vie vaut plus que la votre, bande de lâches ! Trop facile de s'en prendre à des gens désarmés.
Vous apprendrez bien vite à ne jamais sous-estimer un soldat de l'ost, n'est-ce pas Erestie...Regard plein de mépris envers lui, puis se reprend et foudroie l'homme du regard.
Je ne suis pas seule, je suis armée. Je n'ai pas peur de vous, affamés et malades que vous êtes.
Alors soit, je ne vous laisserais pas sortir d'ici en vie !

Jaffar, Capra! Occupez vous d'elle

Deux pour s'occuper d'elle...Ils auraient mieux fait de s'y mettre à 6. Les deux personnes s'approchent d'elle à pas lents, un sourire aux lèvres. Armés.

Vous vous souviendrez de mon nom, Jaffar et Capra, souvenez vous d'Ald, Homme d'armes du Lyonnais-Dauphiné ! Je vais vous apprendre à sous-estimer une femme !

Un cri, tenter d'alerter des gens autour, puis se met en garde basse, attrape sa dague de la main gauche.

PAR SAINCT-GEORGES !!!

Elle attaquera la première, pas question de rester en défense contre deux hommes de ce gabari.
Coup de taille qui ouvre une plaie sanguinolente dans le bras de celui le plus proche d'elle, puis elle lance sa dague, erraflant la joue du deuxième. Un rire sonore, elle se remet en garde.

Alors, vous venez ou je dois boire un verre en vous attendant ?! Ca vous va comme première attaque bande de larves ? Ramper dans les bas-fond vous fait perdre vos reflexes on dirait ! [/rp]

Tenshikuroi a écrit:Tenshi profitait un peu des rues de Briançon, sa dernière venue remontait à longtemps maintenant et il lui tardait de revoir les gens qui l'avait si bien accueillit à l'époque.

Une étrange sensation s'empara alors de lui. C'était comme une gêne, une sorte de malaise qui partait du fond de ses entrailles et qui remontait serrer sa gorge. Ald n'allait pas bien, ou alors elle était en danger. Il ne savait pas bien pourquoi, mais il ressentait littéralement quand sa douce avait besoin de lui. Surement une bénédiction d'Aristote... En tout les cas, il devait la trouver. La trouver oui... mais comment. La connaissant elle devait être en taverne. Seulement, Bri n'en comptait pas qu'une seule, les montagnards avaient souvent besoin de se réchauffer... Il allait devoir trouver la bonne et vite. La malaise se faisant de plus en plus présent et il ne devait pas trainer.

Ninoua a écrit:La joie des retrouvailles fut de courte durée. A peine Ninoua eu terminé sa phrase qu'un grand fracas la fit se retourner. La porte venait d'être enfoncée, laissant place à un groupe armé et hostile. Son coeur manqua un battement lorsqu'elle reconnu Erestie parmis eux. Aucune place pour le doute ; le voile, la carrure, l'attitude, .. tout correspondait et il n'y en avait pas deux pareils dans tout le Duché. Les questions se bousculèrent dans sa tête, l'une appelant l'autre sans qu'aucune réponse ne naisse.

Comme par réflexe, l'homme à l'instant encore assis au comptoir se plaça devant elles, armes à la main, en posture de défense. Ninoua réalisa alors que les intrus étaient en nombre supérieur au leur, et bien mieux armés aussi. Et .. Eli !

Elles étaient toutes deux derrière le comptoir, mais cela ne les protègerait pas plus que ça ne ralentirait leurs agresseurs. Ninoua pris Eli par le poignet, autant pour attirer son attention que pour ne pas la perdre dans le feu de l'action. Elle ne doutait pas qu'elle savait se défendre, mais ils étaient trop peu nombreux face aux habitants des Bas-Fonds, et surtout elle était enceinte de bientôt 7 mois si ses comptes étaient bons. Se battre dans son état aurait été pure folie.

Homme, pose les armes, ta perte est certaine dans ce combat. Mais sache que ta vie ne vaut rien pour nous...

Le visage dans l'ombre de son voile, Ninoua ne pouvait déchiffrer les traits du Perse.

Si vous êtes prêt à croiser le fer et rejoindre votre cher Aristote, qu'il en soit ainsi, prenez vos armes. Si par contre votre bon sens prends le dessus, que vos biens, écus et bijoux, soit mise sur cette table!

Voila, c'était dit. Ainsi renaissaient les Bas-Fonds..

Apres avoir tué ce pauvre fou on pourra en prime s'occuper de ces deux jeunes demoiselles mes amis! Un petit trésor de guerre.

L'homme qui avait parlé s'avançait à présent dans leur direction. La main de Ninoua se resserra autour du poignet d'Eli. Il fallait agir .. vite ! C'est alors qu'une voix familière s'éleva à l'arrière du groupe. Ald !

Lâchez vos armes bande de lâches ! Laissez ces personnes en paix, prenez-vous en plutôt à quelqu'un de votre trempe ! A moins qu'un soldat de l'Ost ne vous fasse peur ?

Une diversion ! L'homme se retourna vers la nouvelle venue. Exactement ce qu'elle espérait. Ninoua se pencha vers Eli sans quitter la salle du regard et lui souffla à l'oreille

Eli, est-ce qu'il y a une sortie à la cuisine ?

La cuisine était à peine à trois pas d'elles. S'il existait une chance, même infime, qu'elles puissent franchir la distance avant d'être rattrapées, il fallait la saisir. Pour l'instant, la fuite semblait préférable à l'affrontement. Une idée la frappa soudain et elle leva son regard vers l'étage. Y avait-il encore des locataires ?
A ce moment, Ald lança la première offensive, se fendant vers l'avant et faisant couler les premières gouttes de sang. D'autres suivront..

--Jaffar a écrit: Alors que Jaffar venait de rejoindre le groupe Brodulis répondit plein d'audace à la jeune femme de l'ost. Puis Brodulis les envoya combattre la soldat.

Jaffar, Capra! Occupez vous d'elle !!!

Ils s'approchèrent du soldat lentement, sortant leurs armes. Jaffar pris dans sa main droite une épée et pris de sa main gauche un poignard, son arme préférée. Mais le poignard était le plus adapté pour assassiner quelqu'un, pas pour le combat rapproché.

Elle leur lança un cri de défi:

Vous vous souviendrez de mon nom, Jaffar et Capra, souvenez vous d'Ald, Homme d'armes du Lyonnais-Dauphiné ! Je vais vous apprendre à sous-estimer une femme !

PAR SAINCT-GEORGES !!!

Le coup était parti très vite, Capra s'écarta par réflexe, ce qui lui permit de n'avoir qu'une plaie sanguinolente, mais de garder son bras. Puis Ald lança sa dague sur lui, il regardait Capra, Jaffar ne la vie pas venir et il se retrouva éraflé à la joue. Il essuya le sang d'un revers de manche et jeta un regard à Brodulis pour lui faire comprendre qu'il ne serait pas de trop pour les aider. Ald se mit en garde et commença à les provoquer.

Alors, vous venez ou je dois boire un verre en vous attendant ?! Ca vous va comme première attaque bande de larves ? Ramper dans les bas-fond vous fait perdre vos reflexes on dirait !

Tandis que Capra prenait un morceau de tissu pour stopper le sang qui coulait de son bras, il s'avança histoire de se mesurer directement à la jeune femme. Sans un mot, il se mit en garde et fixa Ald dans les yeux. Elle le regardait comme si elle était sur de le vaincre. Il prononça ses premiers mots de la soirée d'une voix calme, mais sombre.

Nous t'avons peut être sous-estimé, mais toi tu te surestimes beaucoup, cela va causer ta perte.

Il s'avançât, de sa main droite il frappa avec force sur le flan d'Ald qui para aisément, de sa main gauche il chercha à atteindre son épaule. Le poignard déchira le vêtement d'Ald, mais elle se dégagea avant que l'arme ne puisse faire de réel dégâts. Il se recula et observa une goutte de sang sur le poignard. Il regarda Ald avec un grand sourire. Ce n'était sûrement qu'une blessure superficielle, mais la vue de son sang ferait peut-être douter la soldat de sa capacité à les vaincre.

Aldraien a écrit:[rp]Apparement, les hommes furent déboussolés par sa première attaque, laissant un temps de répit à la jeune femme qui pouvait se préparer à la contre-attaque tranquillement.
Sans s'occuper de ce qu'il se passait du côté des clients -elle n'en avait pas le temps-, elle observe l'homme qui s'approche d'elle pour un face à face...
Elle le regarde, sure d'elle, sourire carnassier aux lèvres, de toute façon il n'était plus temps de reculer.

D'un geste, elle se met en appuie, prête à bondir et attend la suite. L'homme à la joue erraflée était celui qui était entrée par la fenêtre quelques minutes auparavant, il semblait agile mais avait pourtant été surpris par l'attaque à la dague.

Nous t'avons peut être sous-estimé, mais toi tu te surestimes beaucoup, cela va causer ta perte.

Le propre du guerrier est de savoir où se situent ses limites et s'il est prêt à les dépasser ou non, j'ai fait mon choix, fait le tien et approche.

Sa voix était calme, elle n'avait pas peur de la mort. Son regard vert-émeraude brillait d'un éclat plein de vie et c'est dans ces moments là qu'elle se sentait plus vivante que jamais.

Cette fois-ci, elle n'eut pas la chance d'attaquer la première, l'homme se jeta sur elle, visant de son épée son flanc, elle réussit tout juste à éviter le coup, bloquant l'attaque de sa lame dont l'impact résonna jusque dans son épaule. Pas le temps de réagir, le poignard arrive déjà de l'autre côté. A peine le temps de s'écarter, le poignard a déchiré sa chemise, laissant entrevoir une légère coupure et quelques gouttes de sang qui perlaient.

Elle sourit, se redresse et prend son épée à deux mains cette fois-ci, afin d'avoir plus de force dans les coups donnés. Petit regard le défiant, suivit d'un "C'est tout ?" sonore. Elle se remet sur ses appuis, donne une impulsion et d'un bond se retrouve à la hauteur de l'homme à qui elle donne un coup d'estoc bien placé. De la force de ses deux bras, elle réussit à faire ployer le pillard, mais il réussit tout de même à parer l'attaque.
Ald se recule rapidement, se remet en garde. Il allait falloir trouver un autre moyen, les attaques de front ne marcheraient pas.

Elle lâche l'épée de sa deuxième main, ne conserve que la main droite pour tenir l'épée. Elle effectue quelques moulinets de son arme en se rapprochant de Jaffar puis arrivé à bonne distance, se baisse sur ses appuis, tentant de taper dans ses jambes pour le déséquilibrer. Celui ci saute, l'évite facilement et envoie valdinguer Ald d'un coup de pied à quelques pas de là...
Elle se retrouve face contre terre, à la merci du brigand qui se rapproche. Haletante, elle ressent une vive douleur dans les côtes lorsque celui-ci lui y assène un violent coup de pied. Tenant bon, elle sert l'objet dans sa main...et au bon moment, se retourne alors que le pillard la tient par les cheveux et enfonce profondément la dague dans son ventre.

Elle roule sur le côté, reprenant son souffle alors que le brigand se convulse au sol et se relève tant bien que mal...Elle recherche son épée et une fois celle-ci en main, va abréger les souffrances de Jaffar d'un coup net, murmurant "Tu aurais du choisir plus tôt...tu es mort."
Puis elle se redresse, faisant abstraction tant que possible de la douleur dans ses côtes et regarde le reste des pillards.

Alors....à qui le suivant ? C'est du 4...contre 1 maintenant. [/rp]

--L_ostrogoth a écrit:L'Ostrogoth était à sa tournée de personnes lorsque vraiment, il se rendit compte que les quelques hommes qu'ils étaient comptaient quelques couards ou peu musclés.

Il allongea donc sa garde droite de tout son bras prolongé de son épée vers la Dame qui venait de pourfendre un des leurs. En approchant, il enjamba jaffar qui gisait et se baissa rapidement pour prendre son poignard qu'il lança de la main gauche directement dans la cuisse d'Aldraien!

Il profita alors du cri de douleur pour approcher lourdement vers elle. Mais elle n'était pas si dupe et brandit son épée. L'ostro frappa de son bras recouvert de cuir la lame ennemie, se blessant tout de même et lança la pointe de son épée dans le flanc gauche de la Dame. Retenu tout de même par la lame qu'il bloquait.

Il fît alors un bond en arrière et perdit l'équilibre sur une table qu'il brisa de son poids. Les fesses au sol, il attrapa un des pieds de la table pour le lancer afin de tenir Ald à distance. Il se releva et ils étaient maintenant face à face. Elle saignait du flanc et la lame était toujours plantée dans sa cuisse.

Aldraien a écrit:[rp]A peine le temps de reprendre son souffle que déjà un nouvel adversaire s'en prend à elle, énorme, poilu, c'est à peine si on distinguait ses yeux. Il brandit son épée vers elle et Ald, dans un reflexe de protection, leva durement son épée pour se mettre en garde médiane afin de ne pas rester totalement sans défenses.

L'effet de surprise fut totale lorsque le barbare lança le poignard qui alla se ficher droit dans sa cuisse d'appui, la lame s'enfonça prodondément, lui faisant perdre l'équilibre...elle s'affaissa dans un cri de douleur qu'elle se forcait d'étouffer alors que le géant s'approcha encore plus prêt d'elle.
Elle brandit son épée au-dessus de sa tête, prête à frapper mais...alors qu'elle allait abattre sa lame, l'homme frappa de son bras, bloquant sa lame par la même occasion. Ald avait beau mettre toute sa force dans cette attaque, le cuir que portait le géant bloquait son arme.

Soudain, toutes les sensations s'enfuirent de son corps en même temps, elle lacha son épée, ne la sentant plus dans sa main et baisse la tête alors qu'un goût de sang remontait dans sa bouche. L'épée du géant était en elle, l'avait traversé et déjà le tissu entournant l'arme virait à la couleur du sang. Il se recule, l'épée sort de son flant...soudain, tout redevient clair, la douleur la transperce de part en part et elle manque de tomber à genoux.

Le sang coule en grande quantité de la blessure au ventre, elle y porte sa main, comme pour y faire un point de compression, espérant ainsi stopper l'hémorragie puis attrape le poignard de sa cuisse de l'autre main...elle relève le regard vers l'ostrogoth....le reconnait.

C'était l'homme de main de Ka, elle en était sure...comment avait-il pu faire cela dans l'auberge de son maître...Vengeance lui ordonne son coeur, elle arrache le poignard de sa cuisse, provoquant une autre effusion de sang et se dirige vers l'homme, tombé un peu plus loin....un pas, deux pas...trois pas...et puis plus rien, le néant pour la jeune femme rousse, une trainée de sang sur la petite distance parcourue, elle s'effondre au sol, sa chemise déjà imbibée de sang, lachant le poignard à terre, avec pour seule satisfaction l'homme mort près d'elle, et l'absence de Ninoua et Eli...avec de la chance, elles ont réussi à partir.
Dans une mare de sang, ses yeux se ferment, mais sa rage de vivre n'est pas encore éteinte...les secours sont en route. [/rp]

Nuriabernat a écrit:[rp]
Nuria, se hâtait...Elle remontait la rue, elle revenait, harassée de fatigue, de travailler chez Messire Hardryan, quand elle entendit un vacarme hallucinant venant de ce qui semblait être une taverne...
Elle leva les yeux et réussit à apercevoir quelque chose d'écrit sur l'écriteau branle ballant et grinçant sous l'effet du vent de la nuit..."Les montagnards..." ou quelque chose du genre...

Elle perçu le cri étouffé d'une voix familière...
Son bras n'hésita pas, dans un élan, un réflexe, à pousser la porte...
La première sensation fut l'odeur âcre qui lui saisit la gorge...celle qu'elle ne connaissait que trop bien ...le sang!

Elle vit des molosses déchaînés et vociférants! Son regard se posa sur le sol où elle vit plusieurs corps étendus...
Son cerveau tournait très vite et intégrait tant bien que mal la foule d'informations...
Elle réalisa alors qu'une des silhouettes était sans doute aucun, sa compagne de voyage, celle avec laquelle elle avait rejoint Briançon ....
Elle frisa la syncope...

Aldraien!!!!!

Elle posa un regard horrifié et incrédule sur ces Pitbulls avinés, certainement!
La jeune femme se précipita sur son amie effondrée...elle semblait salement touchée...Elle tentait de garder son calme tout en cherchant la solution la plus efficace...
Elle ne put réprimer un cri étranglé par l'effroi et l'indignation...et lança, en larmes, aux inconnus:

Mais Messieurs! Qu'avez-vous à la place du cœur et dans vos esprits? Qui a attaqué ainsi une Dame???
Qu'attendez-vous pour la secourir????
Je ne sais pas qui vous êtes, mais même le pire des brigands a une éthique qui lui interdit de s'acharner de la sorte et d'autant moins sur une femme!
Tout ça doit cesser pour l'amour de Dieu !
Cette Dame est mère...d'un tout petit...de grâce, que quelqu'un vienne m'aider à la transporter...

Elle souleva tout doucement le corps inerte de la jeune femme et la prit dans ses bras, le regard implorant tous les éléments de ne pas permettre qu'elle ne succombe à ces innombrables blessures ...elle enleva son mantel, pour entourer le corps de celle-ci, se saisit de son foulard le déchira en bandes pour fixer des bandages de compression pour éviter qu'elle ne se vide de son sang...

Puis elle cria à la volée:

Que quelqu'un aille prévenir Messire Tenshi et Messire Fontvell...de grâce, même si ça devait être la dernière chose charitable que vous dussiez faire !
Allez, faites vite et commencez à vous occuper également des autres blessés !!!!!....

Elle se pencha vers l’oreille de la malheureuse, lui susurrant tout en lui prodiguant les premiers soins....

Aldraien, je t’en prie tiens bon...on va te sortir de là !

Tenshikuroi a écrit:[rp]Tenshi courrait maintenant. Le malaise qu'il ressentait s'était mué en douleur de plus en plus intolérable. Impossible de l'ignorer, son instinct de l'avait jamais trahit.Ald était en mauvaise posture, il en était certain. Il ne savait pas se qu'il avait pu se passer mais ses viscères lui indiquaient clairement que sa femme était en grave danger.

L'Auberge des brillants-sonnés, l'Hard'wen, L'Auberge de l'Impossible... Les tavernes de Bri, il les faisait défiler les unes derrière les autres. Personne n'avait vu Ald. Personne. Tenshi commençait à se demander si il n'avait pas fait fausse route en écumant les tavernes. C'est alors qu'il passa devant le Refuge des Montagnards. C'était celle de son amiKa et il y avait passé bon nombre d'heures. Des sons, des bruits de fracas et une voix de femme qui semblait implorer parvint à ses oreilles. Il reconnu la voix deNuria... D'un seul élan il se jeta à l'intérieur de la taverne. Le temps se figea. Pour Tenshi, la réalité venait de faire une pause...

D'abord des odeurs, celle du sang, âpre, violente et celle de la mort aussi, nauséeuse et irritante... Et puis les informations visuelles parviennent enfin à son cerveau, il lui sembla qu'une éternité s'était passée, comme si son esprit avait délibérément choisi de le préserver encore quelques instants.

Le corps d'un homme qu'il ne connaissait pas, gisant sur le sol. Une taverne retournée avec 4 hommes, armés, qui semblaient menacer tout le monde. Nuria, il avait donc bien reconnu sa voix, qui se tenait à genoux, le visage passablement horrifié en le voyant entrer et qui semblait vouloir prendre soin d'une personne allongée, sans vie. Une personne... allongée... sans... vie....

Le cri déchirant claqua comme un fouet...

AAAAAAAAAAAAAAAAAAALLLLLLLLLD !!!!!!!

Tenshi est sûr et certain qu'à ce moment là, son coeur a sauté un battement. Le yeux fixés sur sa femme il se précipite sur elle. Juste le temps de constater les dégâts. Une plaie, une large plaie sur son ventre... Une autre sur la cuisse. La jeune femme, les yeux fermés semble morte. Tenshi sait qu'il n'en ait rien, parce que dans le cas contraire ce n'est pas juste un battement que son coeur aurait manqué. Mais à cet instant, la rage irrigua dans tout son être, le fureur gronda en lui jusqu'au plus profond de son âme.. Le sang appelle le sang, ivre de rage et de douleur il se relève pourtant lentement. Il détaille chaque homme en état de combattre. Il ne sait pas qui est le responsable mais ça lui importe peu. Chaque homme, tenant une arme et qui lui est inconnu subira son courroux sans aucune distinction ni aucune retenu. Malgré la fulgurante envie de mort qui le consumait à cette instant, c'est très calmement qu'il retire son épée de son fourreau. Les yeux, flamboyant de fureur, il s'adresse pourtant aux hommes avec retenu...

Vous... la lie de l'humanité. Regardez bien cette lame. Parce que dans peu de temps c'est elle qui vous unira dans la mort. Je ne sais pas qui est responsable de ça, je ne sais pas pourquoi et pour l'instant je m'en contrefout. Ce que je sais en revanche... C'est que lorsque j'en aurai fini, il n'y aura plus un seul morceau de vous assez grand pour être enterré...[/rp]

Erestie a écrit:La scene était presque théâtrale, Aldraien représentait bien ce qui manquait à l'Ost, le courage et l'honneur. Le seul but, la seule cause est et restera la défense d'autrui. Valeurs qui pour le Perse ont toujours étés floues. Les combats s'enchainaient, laissant Aldraien seule face aux hommes des Bas Fonds, un homme à terre, puis la relève par l'Otrogoth qui eu raison de son courage. Deux personnes au sol...

Le Perse ne bougeait pas, immobile, ses pensées n'allait que pour Ninoua qui tenté de fuir avec Elisabeth. Brodulis avait l'intention de les suivre, il n'en serait rien, sa décision était faite, il ne la touchera pas... Nuria entra dans la taverne, une inconsciente de plus... elle ordonnais au homme qui étaient responsable de venir en aide à Aldraien , que pensait*elle, qu'il lui obéirait? Puis pour clôturer cet instant dramatique, Tensh entra, difficile d'imaginer le choc qu'il avait pu ressentir en voyant le corps allongé au sol et la marre de sang l'entourant.

Vous... la lie de l'humanité. Regardez bien cette lame. Parce que dans peu de temps c'est elle qui vous unira dans la mort. Je ne sais pas qui est responsable de ça, je ne sais pas pourquoi et pour l'instant je m'en contrefout. Ce que je sais en revanche... C'est que lorsque j'en aurai fini, il n'y aura plus un seul morceau de vous assez grand pour être enterré...

Homme, tout comme toi, elle a voulut jouer les héros, ne soit pas stupide, ton heure de vengeance viendra en temps voulut, pour le moment je te conseille de prendre soins d'elle si tu ne veux pas sa mort sur ta conscience. Elle a besoins de toi maintenant, après, il sera trop tard...

Non pas que le Perse avait une certaine compassion, il ne voulait juste pas que les hommes ne reviennent qu'avec des morts et blessés, et pas de butin. Tout en restant immobile, il observait Brodulis, pret à bondir sur lui...

Nuriabernat a écrit:[rp]

La tension était retombée, du moins Nuria le sentit ainsi.
Elle se démenait tant bien que mal et continuait à panser les vilaines blessures béantes...elle ne tenait pas spécialement à imposer à qui que ce soit son mode de vie ou la voie choisie, la conscience appartenait à chacun, la justice aux hommes et le jugement dernier au très haut !!!
La seule chose qu'elle voulait par dessus tout, là et maintenant, c'était sauver son amie...
Soudain, un souffle d'air frais bienvenu, vint lui gifler le visage, libérant pour un instant ses voies respiratoires et son esprit!
Elle suivit machinalement son chemin contraire...la porte était ouverte sur une silhouette providentielle, oui, celle de Tenshi!
Elle eut un sursaut de soulagement...immédiatement mitigé par une peur indéfinie qui la prit au ventre...quelle allait être sa réaction devant un tel spectacle...

Le temps était suspendu et l'action semblait se dérouler au ralenti...

Un cri, qui déchira le silence, la ramena à la réalité...

AAAAAAAAAAAAAAAAAAALLLLLLLLLD !!!!!!!

Elle vit Tenshi, se précipiter pour se pencher sur le corps de sa femme et son regard désespéré considéra d'un coup d'oeil l'ampleur de ses blessures...

Nuria croisa ses yeux et la lueur qu'elle y constata lui fit bondir le coeur dans sa poitrine...Il se levait déjà, si lentement, qu'elle ne put juger de ce qu'il avait en tête...il déplia sa longue silhouette qui paraissait énorme depuis le sol et une lampe dessinant son ombre décuplée sur le mur, était là pour renforcer la sensation ...

Elle trésaillit en le voyant planté là, comme sonné et méditant sa prochaine action...il dégainait déjà son épée de son fourreau, la brandissant vers les présents médusés...
Il prononça alors avec une voix forcée de retenue, une tirade où chaque mot tombait comme un couperet...

Vous... la lie de l'humanité. Regardez bien cette lame. Parce que dans peu de temps c'est elle qui vous unira dans la mort. Je ne sais pas qui est responsable de ça, je ne sais pas pourquoi et pour l'instant je m'en contrefout. Ce que je sais en revanche... C'est que lorsque j'en aurai fini, il n'y aura plus un seul morceau de vous assez grand pour être enterré...

Elle faillit se sentir mal en imaginant la suite...mais elle devait penser à trouver Fontvell pour qu'il puisse efficacement agir et ce rapidement...

Elle lui frôla la jambe...pour tenter d'attirer son attention, sans pour autant le déconcentrer et lui souffla dans une plainte désespérée...

Tenshi, écoute, il y a urgence...il faut trouver Fontvell..il saura quoi faire...l'important c'est de lui sauver la vie avant tout !


[/rp]

Benorgon a écrit:Benorgon retournait en forêt ce soir là. Un peu anxieux à l'idée de retrouver celle ci, il fit tout pour rallonger le trajet vers les bois. Il s'engagea alors dans la ruelle bien connue de la taverne de Ka et Eli.
Cette rue d'habitude si calme, semblait être agitée en fin de compte. Des bruits sourd, des cris voir des hurlement plein de souffrance.. Ce n'était pas normal.
Benorgon hâta donc le pas, afin de voir d'où venait ces cris. Il vit au loin la taverne et s'en approcha en courant. Il se montait déjà la tête imaginant une soirée trop arrosée au génépi qui aurait mal tournée. Si ce n'était que ça, ça s'arrangerait vite. Une fois assez prêt, il vit quelques morceaux de bois à terre. Des morceaux qui ressemblaient beaucoup à la porte de la taverne.. Les sons qui en sortaient restés flou et vague. Impossible d'ici d'y comprendre quelque chose..
Benorgon s'approcha alors. Loin d'être rassuré il fit des petit pas léger afin de ne pas se faire entendre. C'était bien la porte qui avait volée en éclat. La confusion l'envahit un instant. Bri... une ville si calme... mais qu'est ce qui se passe ici ?
Il porta la main à son épée en s'approchant de l'entrée. Une fois face à la taverne ouverte, il trouva tout d'abord Ald, allongée par terre et inconsciente. A ses côtés se trouvait une dame qu'il ne connaissait pas. et puis il y avait tenshi dos à elles debout, lui brandissant son épée.
Benorgon avait du mal à faire le point. Etait-ce un mauvais rêve. Jamais il vu de telle scène ici à Bri. Il y avait des mort par terre, des tables brisées, un désordre à t'en faire tourner Ka de l'oeil.. Et au fond, un homme debout se dressait là. Il était calme comme si cette scène était normale.. Son regard revint alors sur Ald qui gisait par terre.

Oh non pas encore ! Ne pourra t'elle donc pas venir ici sans voir couler son propre sang !

Benorgon s'agenouilla à côté d'elle et posa la main sur son front... Elle avait si froid... Ce sang partout.. ces plaies ouverte..
Il se releva alors d'un bond et se posta aux côtés de Tenshi qui semblait trop emplie de rage pour voir quoi que ce soit d'autre que son ennemi.
C'est en s'approchant un peu plus de l'homme du fond qu'il se rendit compte qu'en fait ce n'était autre qu'Erestie. Il avait aidé cet homme un soir où il avait trop bu avec Ninou.

Erestie ! Pourquoi ?!

Benorgon se pencha alors vers Tenshi et lui dit

Ten.. Je pense qu'il faut sauver Ald avant qu'il ne soit trop tard... Ces blessures l'emméneront dans l'au delà avant que n'es fini d'accomplir ta vengeance.

Benorgon dégaina son épée, au cas où le sang n'aurait pas couler assez pour eux..

Quoi que tu fasses Ten, je suis à tes côtés..

--L_ostrogoth a écrit:L'Ostro était toujours face à la demoiselle. Un homme, qui devait être son mari, et que le bourru avait déjà aperçut avec Ka, entra dans la taverne. Ensuite une autre dame qui hurlait de toute part et un homme qui trainait également souvent à la mairie avec Ka.

Dans sa main droite une épée, dans sa gauche un autre pieds de table... Il posa rapidement ses armes et ramassa la plus grande partie de la table pour la lancer sur le petit groupe autour de la blessée ! Quelques-uns furent bousculés. Ensuite il se baissa et ramassa aussi vite les armes. Prêt à bourrer dans la tas. Les cris autours de lui ne l'inquiétaient guère; si il était bien une chose pour laquelle l'Ostro pouvait se concentrer c'était le combat.